Il faut du temps au temps
Jour 18:
Une heure, on est toujours pas arrivé, deux heures on
est toujours pas arrivé, trois heures...Toujours ce
satané vent de face qui nous fait louvoyer mais pas
avancer. La tentation du moteur est grande seulement
nous sommes très juste niveau fuel et la mer est un
peu trop formée.